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How to Be a Better Human


1 How to make the most of a finite life (w/ Oliver Burkeman) 40:22
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There’s only so much you can do in a week – or, according to Oliver Burkeman, in the roughly 4,000 weeks the average human lives. Oliver is a journalist and author of the books Four Thousand Weeks: Time Management for Mortals, Meditations for Mortals, and the newsletter “The Imperfectionist.” Chris and Oliver discuss the paradox of why change can only occur once we accept that we might not be able to change. Oliver also shares how life’s mishaps can become our most treasured memories and why sharing your imperfections is an act of generosity. For the full text transcript, visit go.ted.com/BHTranscripts For the full text transcript, visit go.ted.com/BHTranscripts For a chance to give your own TED Talk, fill out the Idea Search Application: ted.com/ideasearch . Interested in learning more about upcoming TED events? Follow these links: TEDNext: ted.com/futureyou Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.…
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1 Microsoft peut cloner des voix à la perfection ? 1:56
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C’est une petite révolution dans le monde de la synthèse vocale. Microsoft vient de lever le voile sur DragonV2.1, la nouvelle version de son moteur vocal intégré à Azure AI Speech. Et les promesses sont ambitieuses : des voix plus naturelles, plus justes… et plus difficiles à distinguer de la réalité. Là où il fallait auparavant plusieurs minutes de données vocales pour créer un clone convaincant, DragonV2.1 se contente désormais de quelques secondes seulement. Le tout, dans plus de 100 langues. De quoi faire frémir les studios de doublage et ravir les développeurs d’assistants vocaux ou de chatbots. Par rapport à la précédente version, DragonV1, les améliorations sont nettes. Le nouveau modèle affiche une réduction de 12,8 % du taux d’erreur de mot, et corrige les défauts de prononciation, notamment sur les noms propres. Microsoft promet une prosodie plus fluide, plus stable, plus humaine. Mais ce qui impressionne, c’est le niveau de personnalisation : accents, intonations, lexiques spécifiques, tout peut être modulé grâce aux balises SSML. Des profils vocaux comme Andrew, Ava ou Brian permettent même de tester rapidement les capacités du modèle. Bien sûr, avec une telle fidélité vocale, le spectre du deepfake plane. Microsoft en est pleinement conscient. Pour prévenir tout usage malveillant, l’entreprise impose des garde-fous stricts : consentement obligatoire, déclaration explicite d’un contenu synthétique, interdiction d’imitation trompeuse, et surtout, ajout automatique d’un filigrane audio. Ce filigrane invisible serait détectable dans 99,7 % des cas, selon l’entreprise. Suffisant pour rassurer ? Rien n’est moins sûr. Mais une chose est claire : avec DragonV2.1, les voix synthétiques viennent de franchir un cap. Entre progrès technologique et enjeu éthique, la voix de demain sera peut-être déjà celle d’une machine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Les ondes wifi permettent de nous pister physiquement ? 2:09
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Et si votre réseau Wi-Fi servait à autre chose qu’à regarder des vidéos ou envoyer des mails ? La technologie sans fil pourrait bien devenir un outil de détection et de surveillance redoutable… C’est en tout cas ce que révèle une étude surprenante menée par des chercheurs de l’université La Sapienza, à Rome. Leur invention s’appelle WhoFI. Son principe ? Identifier une personne grâce à la manière dont son corps interagit avec les ondes Wi-Fi. Chaque individu produirait, sans le savoir, une sorte d’empreinte électromagnétique unique. Une fois cette signature enregistrée, le système serait ensuite capable de la reconnaître en temps réel, sans capteur, sans caméra, sans puce : juste en observant les rebonds du signal Wi-Fi dans l’environnement. Une technologie qui va bien au-delà des expérimentations passées. Car si des tentatives similaires ont déjà été menées, les résultats étaient encore trop imprécis. En 2020, un système du même genre n’affichait qu’un taux de reconnaissance de 75%. Avec WhoFI, on monte à 95,5%. Une précision qui pourrait tout changer. Imaginez un lieu public où il devient possible de localiser et suivre une personne, même dans le noir, derrière un mur, sans aucune caméra. Pour les chercheurs, on tient là un outil de surveillance d’une efficacité redoutable. Et même si, pour l’instant, le système reste cantonné au laboratoire, il y a fort à parier que les services de renseignement y jettent déjà un œil très intéressé. Reste une question centrale : jusqu’où sommes-nous prêts à aller au nom de la sécurité ? Car si le Wi-Fi peut vous reconnaître… il pourrait bien, un jour, ne plus jamais vous lâcher. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Apple veut finalement créer son propre ChatGPT ? 2:04
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Apple avait fait sensation en juin dernier en dévoilant Apple Intelligence, sa grande offensive dans l’intelligence artificielle. Une annonce forte, mais avec un grand absent : aucun chatbot maison. La firme de Cupertino semblait vouloir laisser cette tâche à ChatGPT, discrètement intégré à Siri pour répondre aux requêtes générales. À l’époque, Apple jugeait l’intérêt du public limité pour ce genre d’outil, et certains de ses propres ingénieurs en IA se montraient sceptiques. Mais les lignes ont bougé. Face au succès grandissant de ChatGPT, Claude ou encore Gemini, Apple semble revoir sa copie. Selon les révélations du journaliste spécialisé Mark Gurman, un projet d’envergure serait en cours dans les coulisses. Son nom : Answers, Knowledge and Information, ou AKI. L’objectif ? Développer un chatbot capable d’explorer le web et de fournir des réponses précises, à la manière de ses concurrents. Le chantier est mené par Robby Walker, un vétéran de Siri, et pourrait aboutir à une nouvelle application autonome, mais aussi à des intégrations profondes dans Siri, Spotlight et Safari. Apple recrute d’ailleurs activement des spécialistes en recherche algorithmique. Et un possible rachat stratégique dans le secteur de l’IA ne serait pas à exclure dans les mois à venir. Ce virage n’est pas seulement technologique, il est aussi stratégique. Apple reste très dépendante de Google, qui lui verse chaque année près de 20 milliards de dollars pour rester le moteur de recherche par défaut. Mais si la justice américaine impose une renégociation de cet accord, c’est toute une part de croissance qui pourrait vaciller. En clair, développer son propre moteur IA, c’est pour Apple une question de souveraineté. Cela permettrait non seulement de maîtriser sa chaîne de recherche, mais aussi de renforcer ses engagements en matière de confidentialité. Dans un marché de la recherche bousculé par l’IA générative, attendre n’est plus une option. Reste à savoir si la pomme parviendra à rattraper son léger retard… et à imposer sa propre voix intelligente. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Des pays de l’UE abandonnent « la vie privée » et peuvent lire vos messages ? 2:01
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Le projet européen baptisé “Chat Control” avance à grands pas… et avec lui, un débat explosif. Soutenu par plusieurs États membres, dont la France, l’Allemagne, l’Espagne et la Pologne, ce texte vise à obliger les applications de messagerie comme WhatsApp, Signal ou Telegram à analyser automatiquement tous les messages – textes comme images – pour détecter des contenus liés à l’exploitation sexuelle d’enfants. Une ambition sécuritaire, oui. Mais derrière, des inquiétudes grandissantes. Car pour parvenir à cet objectif, les plateformes devraient installer des systèmes de surveillance directement sur les appareils – des smartphones ou des ordinateurs. C’est ce qu’on appelle le "client-side scanning" : des outils capables d’analyser les contenus avant même leur chiffrement. Un changement de paradigme. Car même les messageries dites chiffrées de bout en bout, conçues justement pour garantir la confidentialité, seraient concernées. Et c’est là que le tollé commence. Des associations de défense des droits numériques, des experts en cybersécurité, des magistrats et même certains eurodéputés tirent la sonnette d’alarme. Patrick Breyer, élu européen, dénonce une "surveillance de masse inédite", où chaque citoyen serait traité comme un suspect. Les spécialistes en cryptographie alertent : toute porte ouverte, même bien intentionnée, peut être exploitée – par des États autoritaires, des groupes criminels, ou des acteurs malveillants. Plus grave encore : ces outils, conçus pour détecter l’illégal, pourraient produire de nombreux faux positifs. Des photos de famille, des conversations adolescentes, ou des échanges entre victimes et associations pourraient être mal interprétés. Le Conseil de l’UE lui-même a exprimé ses réserves juridiques, jugeant la mesure disproportionnée et inefficace face aux vraies méthodes utilisées par les criminels, qui contournent souvent les messageries classiques. En attendant, la bataille continue dans les couloirs de Bruxelles. Et si vous tombez sur un contenu suspect en ligne, n’oubliez pas : vous pouvez le signaler via la plateforme Pharos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Pourquoi Microsoft cible certaines ambassades ? 1:54
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Une enquête publiée par Microsoft révèle une vaste opération d’espionnage informatique visant plusieurs ambassades étrangères à Moscou. En cause : un groupe de hackers lié au FSB, les services de renseignement russes. Le groupe, connu sous le nom de Secret Blizzard, mais aussi sous les alias Turla, Snake ou encore Venomous Bear, sévit depuis la fin des années 1990. Leur dernière trouvaille ? Un malware baptisé ApolloShadow, capable de s’installer discrètement sur les ordinateurs diplomatiques… à partir même des connexions Internet locales. Comment ça fonctionne ? L’attaque débute dès qu’un appareil se connecte à un fournisseur d’accès russe. Les hackers redirigent alors le trafic vers une fausse page de connexion, similaire à celles des réseaux Wi-Fi publics. En coulisses, une requête Windows censée contacter Microsoft est détournée vers un domaine frauduleux. Le piège se referme : le logiciel espion s’installe sans que l’utilisateur ne clique sur quoi que ce soit. ApolloShadow se fait ensuite passer pour un banal installateur Kaspersky, affichant une fenêtre système qui semble légitime. Une fois les droits administrateur accordés, il installe deux certificats racine pour intercepter les connexions sécurisées. Résultat : même les échanges diplomatiques cryptés peuvent être espionnés. Le malware modifie les règles du pare-feu, redéfinit le réseau comme privé, et crée un compte système fantôme, “UpdatusUser”, qui permet aux attaquants de conserver l’accès. L’activité a été détectée en février 2025, mais le malware circulait déjà depuis l’an dernier. Microsoft a fourni aux ambassades les outils pour détecter les infections, et recommande désormais l’usage de VPN ou de connexions satellites pour contourner les infrastructures russes. Un rappel sévère : la diplomatie moderne ne se joue plus seulement autour d’une table… mais aussi dans les câbles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Pourquoi Elon Musk dépose la marque MacroHard ? 2:09
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Entre Elon Musk et Bill Gates, ce n’est pas l’amour fou, et ce n’est plus un secret. Mais cette semaine, la rivalité entre les deux géants de la tech a pris un tournant inattendu… et franchement piquant. Elon Musk vient en effet de déposer officiellement la marque “MacroHard” auprès de l’office américain des brevets. Un nom qui fait évidemment référence à Microsoft – et surtout, qui s’en moque ouvertement. “Macro” contre “Micro”, “Hard” contre “Soft”… Musk joue la carte du détournement linguistique pour envoyer un message on ne peut plus clair : il crée l’anti-Microsoft, au moins dans l’intention. D’autant que ce nom pourrait bien être associé à un projet tout droit sorti de ses cartons : un logiciel d’intelligence artificielle multi-agents, capable de générer du code, des images, des vidéos, et même d’émuler des humains dans des machines virtuelles. Une technologie que Musk évoquait récemment sur X – anciennement Twitter – avec, déjà, une petite allusion à un nom “satirique”. Provocation gratuite ou lancement stratégique ? Un peu des deux. Depuis des années, Elon Musk multiplie les tacles contre Bill Gates. En 2020 déjà, le fondateur de Microsoft lui reprochait ses “propos irresponsables” et lui conseillait de se concentrer sur “les fusées et les voitures”. Deux ans plus tard, le torchon brûle définitivement : Gates parie 500 millions de dollars sur une chute de l’action Tesla. Musk, furieux, annule une rencontre sur des projets caritatifs et poste dans la foulée un mème moqueur… représentant Bill Gates comme un homme enceint. Depuis, c’est l’escalade. Entre piques, détournements et petites phrases assassines, la plateforme X est devenue le ring de ce combat de milliardaires. Et l’arrivée d’Elon Musk dans le cercle rapproché de Donald Trump n’a rien arrangé. Dans ce contexte ultra-tendu, le dépôt de “MacroHard” sonne comme une nouvelle déclaration de guerre. Subtile ? Non. Efficace ? Sans doute. Mais surtout, une chose est sûre : l’ironie n’est pas morte dans la Silicon Valley. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Anthropic bientôt aussi puissant que Boeing ? 2:00
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Elle ne fait pas autant de bruit que ses rivales, mais elle pèse déjà lourd : Anthropic, la start-up fondée en 2021 par d’anciens cadres d’OpenAI, est en train de devenir l’un des poids lourds de l’intelligence artificielle générative. Son chatbot Claude s’impose comme un concurrent sérieux à ChatGPT. Et les investisseurs ne s’y trompent pas. Amazon et Google ont déjà mis près de 10 milliards de dollars sur la table pour soutenir cette jeune entreprise. Et ce n’est qu’un début. Selon plusieurs médias américains, Anthropic est en train de préparer une nouvelle levée de fonds de 5 milliards de dollars, après une précédente opération en mars dernier qui avait porté sa valorisation à 61,5 milliards. Le prochain tour pourrait faire bondir cette valorisation à 170 milliards de dollars, soit l’équivalent de la capitalisation boursière de Boeing. C’est dire l’appétit que suscite la start-up. Elle joue désormais des coudes avec les plus grands : OpenAI, valorisée à 300 milliards, et xAI, la société d’Elon Musk, qui viserait 200 milliards. Un emballement qui interroge. Si certains voient dans l’IA le moteur de la prochaine révolution industrielle, d’autres redoutent une bulle spéculative, alimentée par des promesses qui dépassent largement les revenus réels. Fait marquant : Anthropic change aussi de cap sur ses sources de financement. Longtemps réticente, l’entreprise ouvre désormais ses portes aux fonds souverains du Moyen-Orient. Elle serait en discussion avec MGX, le bras armé d’Abou Dhabi pour l’IA, et le Qatar Investment Authority. Un virage assumé par le PDG Dario Amodei. Dans un mémo interne, il reconnaît que les principes éthiques ne suffisent plus à couvrir les besoins financiers : « Aucune personne mal intentionnée ne devrait jamais bénéficier de notre succès » est un principe difficile à appliquer dans la réalité, écrit-il. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Tout ce que vous dite à l’IA peut se retourner contre vous ? 2:03
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Peut-on vraiment tout dire à une intelligence artificielle ? Pour Sam Altman, PDG d’OpenAI, la réponse est non. Et c’est lui-même qui le dit, au micro du podcast This Past Weekend. Dans cet entretien, il met en garde contre un usage trop personnel de ChatGPT, son propre chatbot. Le message est clair : vos conversations avec ChatGPT ne sont pas protégées par la loi, comme peuvent l’être celles avec un médecin, un avocat ou un thérapeute. Et en cas de litige, elles pourraient même être présentées devant un tribunal. « Si vous parlez à ChatGPT de sujets sensibles et qu’il y a une action en justice, nous pourrions être légalement contraints de transmettre ces échanges », explique Sam Altman. Une situation qu’il qualifie lui-même de "profondément anormale". Le contexte juridique ne joue pas en faveur des utilisateurs. Une procédure en cours, lancée par The New York Times, oblige OpenAI à conserver l’historique des conversations, y compris celles que les usagers pensent avoir supprimées. Face à cela, Altman plaide pour un encadrement juridique clair. Il estime que les échanges avec une IA devraient bénéficier des mêmes protections que ceux avec des professionnels du soin ou du droit. « Il existe un secret médical, un secret professionnel. Pourquoi pas un secret conversationnel pour l’IA ? », interroge-t-il. Mais pour l’instant, rien de tout cela n’est en place. Et Altman le reconnaît : tant qu’un cadre légal n’existe pas, les utilisateurs sont en droit d’exiger une transparence totale sur la gestion de leurs données privées. Le message est lancé : n’oubliez pas que parler à ChatGPT, ce n’est pas parler en toute confidentialité. Et dans un monde où les frontières entre humain et machine deviennent floues, la protection de la vie privée reste un chantier majeur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Pourquoi doit-on effacer nos mots de passe de Chrome ? 2:14
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En cybersécurité, certaines évidences méritent d’être répétées. En voici une : votre navigateur web n’est pas un coffre-fort. Pourtant, des millions d’utilisateurs continuent d’y stocker leurs identifiants sans se poser de questions. Chrome, Edge, Firefox ou Brave : tous proposent une gestion intégrée des mots de passe, pratique, synchronisée, et rassurante en apparence. Mais derrière ce confort se cache un véritable champ de mines numériques. Le dernier danger en date s’appelle Katz Stealer. Un malware vendu pour quelques dizaines de dollars par mois sur le dark web, accessible même aux cybercriminels amateurs. Son mode opératoire ? D’une simplicité redoutable : il siphonne les identifiants, les cookies, les données bancaires et les tokens d’accès stockés dans les navigateurs, pour les envoyer vers un tableau de bord en ligne. Même les protections récentes de Google, comme le chiffrement lié à l’utilisateur, ne tiennent plus face à cette attaque “masquée”. Ce n’est pas une révolution, mais la banalisation d’un risque majeur. Car tant que vos mots de passe sont gérés par le navigateur lui-même, ils restent exposés aux mêmes failles : extensions malveillantes, sites piégés, infostealers invisibles… et l’absence de chiffrement “zero-knowledge”. Autrement dit, Google ou Microsoft peuvent techniquement accéder à vos données. À l’inverse, les gestionnaires dédiés comme Bitwarden, Keepass ou Proton Pass garantissent un chiffrement local et une vraie séparation des usages. Et le paradoxe, c’est que les géants du web encouragent ce stockage à risque. Microsoft abandonne son gestionnaire sécurisé dans Authenticator au profit d’Edge. Google pousse ses utilisateurs vers les passkeys, mais continue de proposer son gestionnaire intégré comme solution par défaut. Le problème ? Les passkeys ne sont pas encore généralisées, et les navigateurs restent des cibles faciles. Alors si vos identifiants dorment encore dans Chrome ou Edge, c’est peut-être le moment de les migrer. Et de se rappeler qu’en cybersécurité, le confort ne vaut pas la sécurité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Elon Musk veut concevoir un œil bionique ? 2:20
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Et si l’on pouvait un jour voir sans yeux ? C’est le pari audacieux que s’est lancé Neuralink, la société d’Elon Musk. Après avoir implanté avec succès son premier dispositif cérébral N1 sur des patients paralysés, l’entreprise s’attaque désormais à un défi encore plus vertigineux : redonner une forme de vision à des personnes aveugles, même privées de nerf optique. Ce nouveau projet porte un nom évocateur : Blindsight. Il ne s’agit pas ici de restaurer une vision naturelle, mais de créer une perception visuelle fonctionnelle, grâce à une interface cerveau-machine. En clair, une caméra capte l’environnement, le système transforme l’image en signaux électriques, et stimule directement le cortex visuel du patient. Résultat espéré : permettre aux aveugles de reconnaître des visages, lire, se déplacer, accomplir des tâches du quotidien. Pour y parvenir, Neuralink s’est entourée de chercheurs de l’Université de Californie à Santa Barbara et de l’université Miguel Hernández, en Espagne. L’étude est encore en phase exploratoire. Les premiers tests se font sur des patients déjà équipés d’un implant existant, le CORTIVIS, afin d’expérimenter différents modes de stimulation. Des volontaires voyants participent aussi, pour comparer les ressentis. L’intelligence artificielle joue un rôle central dans cette aventure : elle doit analyser les scènes visuelles et faire ressortir les éléments essentiels, afin que la stimulation soit la plus pertinente possible. L’objectif n’est pas d’imiter la vue, mais de construire une représentation utile du monde. Pour l’instant, Blindsight n’a pas encore été testé sur des humains avec les implants Neuralink, mais la société vise une mise sur le marché à l’horizon 2030. Le chemin reste semé d’embûches techniques, éthiques, cliniques… mais le cap est fixé : faire entrer la vision artificielle dans le réel. Et connaissant Musk, difficile de croire qu’il en restera là. Car derrière cette promesse médicale, certains voient déjà les prémices d’une interface homme-machine aux allures de science-fiction. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Youtube a-t-il gagné sa guerre contre les adblockers ? 2:04
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C’est un tour de force qui n’a rien d’un hasard : les revenus publicitaires de YouTube ont atteint 9,8 milliards de dollars au deuxième trimestre 2025, dépassant les prévisions des analystes. Un chiffre impressionnant… mais surtout le fruit d’une stratégie méthodique et musclée. Objectif : réduire au silence les bloqueurs de pub, pousser les utilisateurs à bout… et les faire payer. Le cœur de cette offensive s’appelle l’injection publicitaire côté serveur, ou SSAI pour les initiés. Concrètement, les pubs sont désormais intégrées directement dans le flux vidéo avant même d’arriver sur votre appareil. Résultat : les adblockers classiques, qui opèrent dans le navigateur, sont tout simplement aveuglés. La publicité devient indissociable du contenu lui-même. Même les outils communautaires comme SponsorBlock, qui permettaient de zapper les segments sponsorisés, sont mis à mal. Les repères temporels sont déréglés, les extensions perturbées. Et ce n’est pas un accident : YouTube vise clairement celles et ceux qui tentent d’échapper à son modèle économique. Et quand cela ne suffit pas, la plateforme sort l’artillerie lourde : écrans noirs, vidéos retardées, et autres petits désagréments pour les utilisateurs d’adblockers. Chaque contournement technique est suivi de près par les équipes de Google… et contré dans la foulée. Mais cette politique du bâton a un revers payant : le nombre d’abonnés à YouTube Premium et Music a grimpé à 125 millions. Une croissance stimulée par une expérience gratuite de plus en plus dégradée, et par la hausse des tarifs, notamment pour l’abonnement Famille. Même l’offre « Lite », censée être plus douce, conserve les publicités. Le message est limpide : YouTube assume sa stratégie et montre la voie à d’autres géants du numérique. Pour les utilisateurs, le choix devient de plus en plus binaire : subir… ou s’abonner. Et la frontière entre contenu gratuit et tranquillité d’esprit ne cesse de s’estomper. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Facebook et Instagram inaccessibles à cause de la pub ? 1:59
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Depuis mi-juillet, un mur s’est dressé à l’entrée de Facebook et Instagram pour les utilisateurs européens. Pas de photos de vacances, pas de stories de chats, rien… tant que vous n’avez pas pris la décision. Car Meta, le géant derrière les deux réseaux, vous demande désormais de choisir : payer pour préserver vos données, ou rester en accès gratuit… en échange d’une exploitation publicitaire complète de vos habitudes numériques. Le message est clair, presque brutal : « Reconsidérez le traitement de vos données à des fins publicitaires ». Impossible de passer outre. Il n’y a plus de bouton “plus tard”, plus d’option pour esquiver. Vous êtes face à un checkpoint numérique : soit vous souscrivez à l’abonnement de 7,99 € par mois pour une navigation sans pub ni pistage, soit vous acceptez que vos clics, vos messages, vos centres d’intérêt deviennent matière première pour les algorithmes publicitaires de Meta. Cette méthode radicale n’est pas une lubie du groupe de Mark Zuckerberg. C’est une réponse aux exigences du RGPD, la réglementation européenne sur la protection des données, qui oblige désormais les plateformes à obtenir un consentement explicite pour exploiter nos données personnelles. Meta n’a donc plus le choix : il faut demander votre avis… mais pas sans vous mettre un peu la pression. Dans la version gratuite, les publicités restent omniprésentes, nourries par l’analyse fine de vos comportements en ligne. La version payante, elle, promet une bulle sans pistage — ou presque. Plus de ciblage, plus de cross-tracking, plus de pub, sauf celles des marques que vous suivez volontairement. Derrière ce tournant, deux objectifs : se conformer à la loi… et sauver un modèle économique fondé sur la publicité. Mais au passage, Meta redéfinit le contrat tacite entre utilisateur et plateforme. Ce qui était gratuit a désormais un prix. Et ce prix, c’est votre vie privée — ou 7,99 euros par mois. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Amazon devient opérateur satellite en France ? 2:13
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C’est désormais acté : Amazon peut déployer sa constellation de satellites Kuiper en France. L’ARCEP, le régulateur des télécoms, a validé l’autorisation d’usage des fréquences pendant dix ans. Une décision stratégique, qui ouvre la voie à une nouvelle offre de connectivité par satellite pour le grand public – en concurrence directe avec Starlink d’Elon Musk. Mais cette avancée n’a pas fait l’unanimité. Eutelsat et Viasat, acteurs déjà bien implantés dans le secteur spatial européen, ont vivement protesté. Ils redoutent des interférences avec leurs propres satellites, notamment géostationnaires. Viasat affirme même que certaines limites d’émissions seraient dépassées à Lyon. Quant à Eutelsat, il reproche à Amazon de ne pas avoir pris contact pour protéger ses stations au sol. Il faut dire que le projet Kuiper est ambitieux. Plus de 3 000 satellites en orbite basse, et un investissement total de 10,3 milliards d’euros. Un quart de cette somme, soit environ 2,6 milliards, devrait bénéficier directement au secteur spatial européen, notamment via les 18 lancements confiés à Arianespace. Un argument de poids pour ceux qui voient dans ce projet un levier industriel autant qu’une réponse aux zones blanches. L’ARCEP, elle, assume son choix : accorder l’autorisation sous conditions strictes. Si des brouillages sont constatés, Amazon devra cesser immédiatement l’utilisation des fréquences concernées. Une décision “sans garantie de non-brouillage”, mais encadrée par des obligations fortes. En clair, le régulateur préfère miser sur l’innovation et la surveillance plutôt que sur le principe de précaution. Une manière aussi de stimuler la concurrence dans un secteur encore largement dominé par Starlink. Du côté des collectivités, l’AVICCA se dit favorable à cette diversité technologique, tout en rappelant que la fibre optique doit rester la norme. Elle alerte aussi sur les questions de souveraineté et de cybersécurité, alors que des opérateurs non-européens gagnent du terrain. Pour les usagers, une chose est sûre : une alternative à Starlink arrive. Reste à voir si le ciel français pourra accueillir tous ces satellites sans interférences... ni turbulences. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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1 Vheer, générateur de vidéo IA gratuit et sans inscription ? 2:18
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C’est une bataille de titans qui agite en ce moment le petit monde de l’intelligence artificielle générative vidéo. Aux avant-postes, Google, avec son impressionnant VEO 3, impose sa puissance… mais à un prix. Comptez jusqu’à 200 euros par mois pour profiter pleinement des performances de cette IA surdouée. Et Google n’est pas seul sur le champ de bataille : OpenAI avec Sora, Runway Gen-3, Kling, SeaDance... Tous ces géants ont un point commun : ils font payer – cher – un service qui reste extrêmement gourmand en puissance de calcul. Face à cette avalanche d’outils premium, certaines plateformes tentent de proposer des alternatives plus accessibles. Hailuo AI, par exemple, réduit les coûts mais impose des filigranes ou des temps d’attente parfois longs. Et puis, il y a Vheer. Un nom encore peu connu… mais qui pourrait bien faire parler de lui. Vheer, c’est l’outsider qui bouscule les codes. Accessible en ligne, sans inscription, l’outil propose de générer des vidéos courtes… gratuitement. Pas de watermark, pas de compte à créer, et une interface simple qui accepte les formats classiques : carré, paysage, portrait. Le tout, en seulement quelques minutes de traitement. Autant dire que ça intrigue. Alors bien sûr, il y a des limites. D’abord, Vheer ne transforme pas encore un texte en vidéo directement. Il faut lui fournir une image. Mais l’astuce, c’est que l’appli propose aussi une fonction de génération d’image via prompt. Autrement dit, vous tapez une idée, il crée une image… que vous transformez ensuite en clip. La durée, elle, est limitée à cinq secondes – un recul récent face à l’afflux de demandes. Mais en rusant un peu, on peut enchaîner les clips à partir de l’image finale du précédent, et les assembler dans un logiciel comme CapCut ou Premiere. Autre conseil : téléchargez vite vos créations, car sans compte, rien n’est conservé. Et ce n’est pas tout. Suppression de fond, OCR, édition d’images… Vheer regorge de fonctions IA, toutes gratuites pour le moment. Une chose est sûre : si le modèle évolue, profitez-en tant qu’il est encore ouvert à tous. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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Choses à Savoir TECH


1 Quelle est l’application la plus téléchargée de 2025 ? 2:11
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C’est une première qui pourrait bien marquer un tournant dans l’histoire du numérique. En juin, ChatGPT devient l’application la plus téléchargée au monde, avec 50 millions d’installations sur smartphones. Oui, vous avez bien entendu : l’intelligence artificielle d’OpenAI dépasse TikTok, Instagram, WhatsApp et Facebook, tous relégués derrière. TikTok, pourtant habituée à la première marche, arrive deuxième avec 37 millions de téléchargements, juste devant Instagram et ses 36 millions. Un bouleversement discret mais révélateur. Car si les géants des réseaux sociaux semblaient indétrônables, ChatGPT s’impose comme l’outsider devenu incontournable. Et ce, malgré les efforts d’Apple et Google pour promouvoir leurs propres IA — Apple Intelligence et Gemini — intégrées directement dans iOS et Android. Visiblement, les utilisateurs font toujours confiance à OpenAI pour répondre à leurs besoins. Ce succès intervient dans un contexte où les téléchargements globaux reculent : le Top 10 mondial cumule 290 millions d’installations, soit une baisse de 8 % par rapport au mois de mai. Mais ChatGPT, lui, grimpe. Facebook et WhatsApp complètent le Top 5 avec respectivement 30 et 28 millions de téléchargements. Netflix, quant à lui, sort du classement. Côté shopping, ce n’est ni Amazon ni Vinted qui brillent, mais Temu, l’appli e-commerce chinoise qui se hisse à la 7e place. Et derrière cette envolée des téléchargements, une autre évolution se profile en coulisse : l’infrastructure technique de ChatGPT elle-même est en pleine transformation. OpenAI a signé avec Google Cloud. Jusqu’ici hébergé exclusivement sur Microsoft Azure, ChatGPT s’ouvre à de nouvelles infrastructures pour répondre à la demande croissante en puissance de calcul. Désormais, Google Cloud servira les utilisateurs aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Japon, en Norvège et aux Pays-Bas. En France, en revanche, seul Microsoft reste à la manœuvre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.…
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