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Netflix Sports Club Podcast


1 Paul Finebaum's 2025 Natty Pick & Diego Pavia's Heisman Hopes🏆 35:51
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Diego Pavia and Paul Finebaum are this week’s Netflix Sports Club guests. Paul Finebaum, the voice of the SEC, drops a bold national championship prediction that might give the Big Tenners pause, and he reveals which SEC quarterback has him starstruck. Vanderbilt quarterback, Diego Pavia, gives a standout performance on and off the field in SEC Football: Any Given Saturday. He relives that improbable ‘Bama victory, including pre-game routine and why he thinks this victory changed the conversation about Vandy football - sorry Nick Saban. Paul Fineman and Diego Pavia gaze into the crystal ball of the 2025 season, and what do they see? Heisman Trophies, making Auburn pay, and LSU’s chances for glory. In this interview, Vandy QB, Diego Pavia: 🟥 Details the 2024 Vandy vs. ‘Bama Buildup 🟥 Discusses playing for Coach Lea and with his bestie 🟥 Reveals his true height In this interview, SEC Expert, Paul Finebaum answers: 🟥 Why the SEC’s staying power is unrivaled? 🟥 Who’s almost a bigger star than Taylor Swift? 🟥 Which team will win the 2025 National Championship? 00:00 Intro 01:24 Vandy QB Diego Pavia Is a Star 01:37 Beating Bama 03:19 Choosing Vandy And Coach Lea 04:58 Give Me The Ball 06:20 Dude Put In The Work 07:38 Nick Saban Said What?? 08:20 Underdogs 10:22 Watch Out Auburn 12:33 Recruits: Come To Vandy! 13:29 Kay and Dani Talk SEC 15:54 Paul Finebaum’s SEC Picks 16:40 All About Arch Manning 17:23 SEC: The Only Game In Town 18:25 South Carolina Should Be In The Playoffs 19:40 Shane Beamer Bounce Back? 20:14 Arch Manning Is No Taylor Swift 21:42 The Weight of Being a Manning 22:31 Finebaum: “Best Player Since Tim Tebow” 23:20 LSU QB1 + Championship Or Bust 25:39 Post Saban Alabama 27:42 Is Vanderbilt Legit? 28:44 Can Mississippi State Survive? 29:49 The Vols “Will Struggle This Year” 31:44 SEC: Natty. Little Tenners: Nothing 33:09 Outro 34:28 Up Next - America’s Team: The Gambler And His Cowboys 🏈 Diego Pavia Instagram - https://bit.ly/45uLND4 TikTok - http://bit.ly/4fsLY5p X - https://bit.ly/4ldwx2j 🏈 Vanderbilt Instagram - http://bit.ly/4lfo8eu X - http://bit.ly/4mCiaWt YouTube - @vucommodores 🏈 Paul Finebaum Instagram - https://bit.ly/45kVtPv X - https://bit.ly/46JQFWc 🎙️ Kay Adams Instagram - http://bit.ly/3GYp4Go TikTok - http://bit.ly/4m7KmR9 X - http://bit.ly/45nI2Ou 🎙️ Dani Klupenger Instagram - https://bit.ly/3HeGGxx TikTok - https://bit.ly/4lQSBkl X - https://bit.ly/4lWpufr 🟥 Netflix Sports Instagram - http://bit.ly/45CPAhL TikTok - http://bit.ly/4mti6Ia X - http://bit.ly/4mseqGH Facebook - http://bit.ly/45o5xqK YouTube - @NetflixSports We want to hear from you! Leave us a voice message at www.speakpipe.com/NetflixSportsClub Be sure to watch, listen, and subscribe to the Netflix Sports Club Podcast on YouTube, Spotify, Tudum, and wherever you get your podcasts. Hosted by Kay Adams, the Netflix Sports Club Podcast is an all-access deep dive into the Netflix Sports Universe. Join Kay as she speaks with athletes, coaches, and top sports correspondents to break down the latest Netflix Sports series. Expect bold opinions, insightful analysis, and candid conversations you won’t find anywhere else.…
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Chaque jour, un invité, spécialiste ou acteur de l’événement, vient commenter l’actualité internationale sur RFI au micro du présentateur de la tranche de la mi-journée.
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1 Rencontre Trump-Zelensky: «Une partie de l'avenir de la sécurité de l'espace européen se joue» 7:29
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Donald Trump reçoit ce lundi 18 août Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche. Cette rencontre sera suivie d'une réunion avec plusieurs dirigeants européens venus épauler le président ukrainien. Ces nouvelles discussions devraient se concentrer sur deux enjeux : les éventuelles concessions territoriales et les garanties de sécurité en cas de paix entre Kiev et Moscou. Entretien avec Stéphane Audrand, consultant en risques internationaux et spécialiste militaire.…
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1 Guerre à Gaza: «Pour les Israéliens, le seul résultat qui compte c'est la libération des otages» 6:05
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Des manifestations se tiennent ce dimanche 17 août dans plusieurs villes d’Israël. Objectif : pousser le Premier ministre Benyamin Netanyahu à mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza et à conclure un accord pour la libération des otages.Pour parler de ce mouvement de contestation, nous recevons Denis Charbit, professeur de sciences politiques à l’université ouverte d’Israël, spécialiste de la société israélienne. À lire aussi Israël: jour de grève et de blocage pour le retour des otages et la fin de la guerre à Gaza…
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1 Afghanistan: «La population essaye de survivre dans ce climat de terreur» 6:36
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Les talibans célèbrent leur quatrième anniversaire à la tête de l’Afghanistan. Ce régime est dénoncé par la communauté internationale, notamment sur la question du droit des femmes. Pour parler de la situation dans ce pays, nous recevons Firouzeh Nahavandi, professeure émérite à l’Université libre de Bruxelles, spécialiste de l’Afghanistan et de l’Iran, auteure du livre Femmes iraniennes : évolution ou révolution: Comment survivre dans un régime islamiste (éditions code 9/La Pensée et les Hommes, 2025). À lire aussi Afghanistan: faits marquants de quatre années de régime taliban…
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1 Traité plastique: «Il faut repenser la gouvernance internationale» 10:48
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A Genève, les représentants des plus de 180 pays n'ont finalement pas réussi à s'accorder sur un traité pour lutter contre la pollution plastique. Un échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie. Est-ce une nouvelle preuve de l'affaiblissement du multilatéralisme ? Faut-il inventer de nouveaux formats de prise de décision ? Eléments de réponse avec Yamina Saheb, présidente du Laboratoire mondial des sobriétés, chercheuse à Sciences Po, rédactrice au sein du Giec.…
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1 Idéologie du «Grand Israël»: «Netanyahu, issu du Likoud, a une filiation avec cette idée-là» 7:02
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Alors que le gouvernement israélien veut occuper la bande de Gaza, que son armée est toujours présente au Liban et que les incursions se poursuivent dans les régions frontalières avec la Syrie, Benyamin Netanyahu a indiqué, dans une interview à la chaîne israélienne i24News, qu'il se sentait proche de l'idéologie du « Grand Israël ». Comment définir celle-ci ? Eléments de réponse avec Thomas Vescovi, doctorant en études politiques à l'EHESS et à l'université libre de Bruxelles. Thomas Vescovi est cofondateur et membre du comité de rédaction de Yaani.fr, auteur de L'échec d'une utopie, une histoire des gauches en Israël (éditions La découverte).…
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1 Garde nationale à Washington: cela s’inscrit «dans un contexte de renforcement de l’exécutif» 6:46
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Environ 850 agents fédéraux de la Garde nationale ont été déployés à Washington sur décision de Donald Trump qui estime que la ville est « envahie par des gangs violents et des criminels assoiffés de sang » . Les élus locaux démocrates assurent pourtant que la criminalité diminue. En quoi est-ce une décision politique ? Donald Trump pourrait-il viser d'autres grandes villes démocrates ? Éléments de réponse avec Gabriel Solans, chercheur en civilisation américaine à l'université Paris-Cité.…
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1 Guerre à Gaza: «La France a une sorte de timidité vis-à-vis d'Israël» 7:18
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35 anciens ambassadeurs ont signé une tribune parue dans le journal Le Monde , appelant la France à « reprendre l'initiative au Moyen-Orient » et à retrouver son rôle de défenseur du droit international, alors qu'Israël poursuit son offensive dans la bande de Gaza et qu'une frappe israélienne a tué 6 journalistes palestiniens dans la nuit du dimanche 10 août. Entretien avec Yves Aubin de La Messuzière, signataire de cette tribune, ancien ambassadeur de France. Yves Aubin de La Messuzière est l'auteur des livres Gaza, analyse d’une tragédie (coédition Hémisphères/Maisonneuve & Larose, 2024) et Israël-Palestine: le déni du droit international (coédition Hémisphères/Maisonneuve & Larose, à paraitre en aout 2025).…
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1 Journalistes tués à Gaza: «On est face à une sorte d'extinction potentielle du journalisme à Gaza» 6:23
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Al Jazeera a annoncé que cinq de ses journalistes avaient été tués dimanche 10 août dans une frappe israélienne « ciblée » sur leur tente à Gaza. Parmi eux : Anas al-Sharif, un correspondant de 28 ans très connu des téléspectateurs et sur les réseaux sociaux. L'armée israélienne confirme l'avoir ciblé, et assure qu'il s'agissait d'un « terroriste » se faisant « passer pour un journaliste » . Dans un communiqué, Reporters sans frontières dénonce « avec force et colère cet assassinat revendiqué » . Entretien avec Thibaut Bruttin, directeur général de RSF. RFI : Anas al-Sharif était menacé depuis plusieurs semaines déjà. Est-ce que des mesures avaient été prises pour tenter de le protéger ? Thibaut Bruttin : Ce qui est clair, c'est que les collaborateurs d’Al Jazeera, depuis le début de ce conflit, font l'objet d'un ciblage répété, et l'équipe d'Al Jazeera et Anas al-Sharif lui-même se préparait à l'éventualité d'une telle frappe. Et c'est d'ailleurs pour cela qu'il avait écrit un courrier qui a été rendu public par Al Jazeera dans les heures qui ont suivi son décès. Environ 200 journalistes ont été tués depuis le début de cette guerre. Est-ce que c'est une situation inédite, si l’on compare avec les conflits depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ? C'est inédit dans la mesure où nous avons une seule force armée, les forces armées israéliennes, qui appartiennent à un régime démocratique qui, non seulement tue de façon indiscriminée des journalistes dans le cadre de frappes qui touchent des civils, mais aussi ciblent des journalistes et revendique ce ciblage en les accusant post-mortem d'être des terroristes. C'est le cas de Anas al-Sharif, qui a été dépeint comme quelqu'un qui prétendrait être journaliste, mais serait en réalité un terroriste. Il n'en est rien. Ces journalistes travaillaient pour Al Jazeera pour la plupart. On sait qu'il y a un passif déjà entre cette chaîne qatarienne et le gouvernement israélien. Mais au-delà de cet aspect, est-ce qu'il est encore possible d'être journaliste palestinien et de travailler dans la bande de Gaza ? C'est devenu un des métiers les plus dangereux du monde. Vous avez évidemment la menace perpétuelle des frappes armées israéliennes. Vous avez, par ailleurs, le besoin de vivre votre vie civile, de faire la queue pour la nourriture, pour l'eau, de prendre soin des vôtres. Et puis il y a le Hamas qui continue à empêcher une couverture réelle, complète de la vie à Gaza. Et par-dessus tout, les populations civiles qui témoignent, soit, et c'est tout à fait louable, d'un soutien aux journalistes, soit s'en éloignent, ne veulent plus leur parler parce qu'ils disent que s'ils leur parlent, un missile tombera et ils risquent de périr. Donc, c'est aujourd'hui un des métiers les plus dangereux du monde que d'être journaliste à Gaza. Ça veut dire qu'il faut presque cacher ce métier quand on est encore sur place, comment est-ce qu'on peut faire pour continuer à faire son travail ? Les journalistes gazaouis sont aujourd'hui un des honneurs du journalisme. Ils continuent malgré tout, malgré la pression, la violence, l'épuisement, à faire leur travail. C'est aux démocraties de faire leur travail. Comment est-il possible que, dix ans après la résolution 2222 du Conseil de sécurité des Nations unies sur la protection des journalistes en période de conflits armés, on en soit là ? Comment est-ce qu'on peut accepter qu'un gouvernement demande, ou en tout cas accepte que les forces armées qui sont sous son autorité, en arrivent à avoir des frappes ciblées et une diffamation post-mortem des journalistes ? Je crois que c'est là où il faut remettre le curseur, là où il doit être, c'est-à-dire que nous avons peut-être perdu collectivement une force, celle de la communauté internationale qui doit peser de son poids entier sur Israël. On sent presque un sentiment d'impuissance. Qu'est-ce qu'on peut faire concrètement face à cela ? Il est clair qu’aujourd'hui, il ne nous semble pas que l'indignation des États membres de l'Union européenne soit telle qu'on en revienne à mettre en cause, par exemple, l'accord commercial qui existe entre Israël et l'Union européenne. Je crois qu'il faut utiliser les leviers qui sont les nôtres face à un pays, Israël, qui est en train de renier l'intégralité des engagements internationaux que tout régime démocratique se doit d'avoir à l'égard des journalistes. On parle essentiellement de correspondants palestiniens, parce que les médias internationaux, eux, ne sont pas autorisés à travailler librement dans la bande de Gaza. Est-ce que ça aussi, c'est quelque chose d'inédit ? C'est inédit dans ce moment de l'histoire du journalisme. Aujourd'hui, il est tout à fait possible d'assurer la sécurité des journalistes dans les périodes de conflit armé, à la fois parce que les belligérants sont capables de garantir une grande partie de la sécurité des journalistes. On le voit par exemple lors du conflit en Ukraine, où, bien sûr, il y a des journalistes qui périssent. Mais quand on regarde leur nombre par rapport au nombre de journalistes sur place, ça montre à quel point il y a une précaution qui est prise. Et puis il y a une culture de la sécurité dans les rédactions qui fait que les journalistes ne sont pas des bleus. Ils sont capables d'avoir des équipements, d'avoir des réflexes, d'avoir des méthodes qui leur permettent d'échapper à la violence lors d'un conflit. De façon assez sournoise dimanche, Benyamin Netanyahu a évoqué cette ouverture potentielle de Gaza élargie aux journalistes internationaux. Je crois que c'est véritablement une nécessité pour assurer une relève de ces journalistes palestiniens qui sont aujourd'hui les yeux et les oreilles de la communauté internationale et du monde entier. Est-ce qu'il y a un vrai risque aujourd'hui de ne plus pouvoir du tout rapporter ce qui se passe sur place dans la bande de Gaza ? Absolument. Je crois que l'on regarde là, par exemple Al Jazeera, qui est une chaîne dont la couverture est non seulement très soutenue, mais aussi très suivie du conflit. Elle a perdu la quasi-totalité de ses collaborateurs. Donc, on est face à une sorte d'extinction potentielle du journalisme à Gaza.…
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1 «L’horreur du génocide infligé aux Gazaouis»: la rue israélienne peut-elle stopper Netanyahu et sauver les otages? 6:08
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Le plan proposé par Benyamin Netanyahu pour en finir avec le Hamas et contrôler Gaza provoque l'indignation dans le monde entier, sans compter les critiques émanant de la société israélienne. Ce mécontentement généralisé peut-il modifier l'orientation du Premier ministre ? Notre invité Dominique Vidal, ancien rédacteur en chef au Monde diplomatique , désormais à Historia et auteur de Palestine Israël, une histoire visuelle aux éditions du Seuil, nous répond. RFI : Est-ce que le mouvement de contestation en Israël peut permettre de défaire ce plan de contrôle de Gaza et d'aboutir au retour des otages retenus par le Hamas ? Dominique Vidal : De la manière dont Netanyahu manipule, l ’avenir de Gaza n'est absolument pas de nature à libérer les otages. C'est d'ailleurs pourquoi je pense, contrairement à ce qui a été le cas jusqu'ici, une majorité d'Israéliens exige maintenant l'arrêt de la guerre et la libération des otages grâce à un cessez-le-feu. Les grandes manifestations sont récurrentes en Israël, mais est-ce que cela réussit à faire changer la politique du gouvernement ? La politique de Netanyahu répond à deux soucis principaux. Évidemment d'avancer dans la voie d'un nouvel exode des Palestiniens, ceux de Gaza, mais aussi et surtout, se sauver du procès qui l'attend et dans lequel il risque d'être très lourdement condamné. Mais ce qui se passe en Israël n'est pas le seul aspect de difficulté pour Netanyahu. Il y a aussi cette vague de reconnaissance annoncée de l'État de Palestine, depuis que le président Macron a lui-même annoncé cette décision pour le mois de septembre . On a une quinzaine d'États qui, d'une manière ou d'une autre, ont pris le même chemin. On risque d'arriver donc à la rentrée, à New York, en assemblée générale à l'ONU, à une majorité écrasante de pays reconnaissant l'État de Palestine. Il y en avait 148 avant l'annonce du président Macron. Il y en a une quinzaine de plus aujourd'hui. À lire aussi Israël: rassemblées à Tel-Aviv, les familles d'otages dénoncent le «sacrifice» de leurs proches L'opposition israélienne se rend bien compte de cette indignation internationale. Mais est-ce que ça la motive encore plus ? Oui, visiblement, il s'est passé quelque chose dans le mois écoulé, puisqu’on a aujourd'hui 600 responsables de l'armée ou des services de renseignement qui en appellent au président Trump pour qu'il enjoigne Netanyahu à cesser le feu. Ce dimanche à 13 h 30 TU, le Premier ministre israélien tient une conférence de presse à destination des journalistes internationaux, Que peut-on en attendre ? Pas grand-chose. On sait ce que Netanyahu a comme projet, et il aura obtenu de son cabinet de sécurité et de son gouvernement un appui pour ce projet. Mais encore une fois, l'horreur du génocide infligé aux Gazaouis est telle qu’il y a tous les éléments pour cette espèce de bascule, à la fois en Israël et sur le plan international. Si le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu va jusqu'au bout de son plan de contrôle de Gaza, si on suit sa logique, que vont devenir les deux millions de personnes qui y habitent ? Est-ce qu'on se dirige vers un contrôle avec des check-points comme en Cisjordanie occupée et pourquoi pas, à terme, des installations de colons à Gaza ? C'est ce dont rêve l'extrême droite à laquelle Netanyahu s'est allié depuis 2022. Mais aujourd'hui, on imagine mal comment le projet de « nouvelle Nakba », comme disent les Palestiniens, de nouvelle catastrophe, c'est-à-dire d'expulsions massives de Palestiniens depuis leurs foyers, peut aboutir. Parce qu'il faudrait avoir un pays ou des pays arabes prêts à accueillir ces réfugiés palestiniens. Et jusqu'ici, en tout cas, aussi bien l'Égypte que la Jordanie, qui ont été approchés par les États-Unis, ont dit qu'ils n'accepteraient aucun réfugié, que l'avenir des Palestiniens était en Palestine et qu'il fallait donc reconnaître l'État de Palestine. En Israël, l'armée est un pouvoir fort et est-ce que l'opposition au Premier ministre et au gouvernement peut venir de cette armée ? On voit que des réservistes sont déjà plus que réticents. Alors est-ce qu'il peut y avoir un un mouvement général ? Oui, il y a beaucoup de signes de malaise de l'armée. On a aussi, il faut le dire, des suicides en grand nombre de soldats qui sont partis faire la guerre. Cette guerre qu'on appelle guerre, mais qui est un génocide, encore une fois, et qui ne supportent pas ce qu'on aura, ce qu'on leur a fait faire là-bas. À lire aussi «Des ordres criminels»: en Israël, le malaise grandit chez les réservistes vis-à-vis de la guerre à Gaza…
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1 Biélorussie: cinq ans après le soulèvement, «la répression continue», avec «une dimension transnationale», dit Anaïs Marin 9:07
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À Varsovie se tient une conférence consacrée à l'avenir de la Biélorussie. Leaders de la contestation de 2020, Svetlana Tikhanovskaïa et son mari Sergueï, libérés des prisons biélorusses, seront présents. Il y a cinq ans, les Biélorusses avaient voté pour élire leur président, mais cette élection avait été marquée par une fraude massive qui a permis la réélection d'Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994. À la différence des autres années, les Biélorusses sont ensuite descendus en masse dans les roues pour protester. Ces manifestations ont été réprimées dans le sang. Quelle est la situation aujourd'hui dans le pays ? Anaïs Marin, qui a été rapporteuse de l'ONU pour les droits de l'homme en Biélorussie jusqu'à 2024, en parle. À lire aussi Biélorussie: cinq ans après les manifestations anti-Loukachenko, «les répressions se poursuivent chaque jour»…
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1 Plan d'occupation d'Israël à Gaza: «Benyamin Netanyahu navigue à vue», observe David Rigoulet-Roze 10:04
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Le cabinet de sécurité israélien a approuvé officiellement, dans la nuit du jeudi 7 au vendredi 8 août, le plan de Benyamin Netanyahu. L'État hébreu veut désormais occuper l'intégralité de la bande de Gaza, en commençant par prendre le contrôle total de la ville de Gaza. L'analyse de David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique et rédacteur en chef de la revue Orients Stratégiques .…
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1 Ukraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit» 7:10
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Le Kremlin a confirmé l'organisation d'un sommet bilatéral dans les prochains jours avec Donald Trump, qui attend une rencontre avec Vladimir Poutine depuis son retour à la Maison Blanche. Ce rendez-vous a été évoqué mercredi 6 août lors de l'entrevue à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff et le président russe. On en parle avec Florent Parmentier, secrétaire général de Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), chercheur associé à l'Institut Jacques-Delors.…
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1 80 ans après Hiroshima: «Personne ne peut dire si la dissuasion nucléaire fonctionne» 7:15
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Le Japon commémore, à partir de ce 6 août 2025, les 80 ans des bombardements de Hiroshima et Nagasaki. Le largage, par les Américains, de ces bombes atomiques fit plus de 200 000 morts et précipita la fin de la Seconde guerre mondiale. C'est, à ce jour, le seul moment dans l'histoire où des armes nucléaires ont été utilisées en temps de guerre. Mais le monde n'est peut-être pas à l'abri de revivre, un jour, un schéma similaire. On en parle avec Jean-Marie Collin, directeur France de la Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires.…
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1 Liban: «Le Hezbollah est une milice avant d'être un parti, ses armes sont une assurance-vie» 7:20
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Le Conseil des ministres libanais se réunit mardi 5 août pour évoquer le débat clivant sur le désarmement du Hezbollah. Le président Joseph Aoun a assuré vouloir « retirer les armes de tous les groupes armés, y compris du parti chiite » et réserver le monopole des armes aux forces militaires. Mais le Hezbollah demande, avant toute chose, le retrait définitif des Israéliens du Liban et l'arrêt des violations du cessez-le-feu. Anthony Samrani, co-rédacteur en chef au quotidien libanais L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban. La fin d'un pays, la fin d'un monde ? (Gallimard) décrypte les enjeux de cette situation.…
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1 «Netanyahu n'est plus en mesure de répondre aux intérêts israéliens», jugent des ex-responsables de la sécurité 7:31
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Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël en appellent dans un courrier à Donald Trump à faire pression sur le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, pour arrêter la guerre à Gaza. D'anciens chefs espions, militaires, policiers, diplomates, estiment que les objectifs de l'État hébreu ont été atteints dans l'enclave palestinienne, et considèrent que le Hamas « ne représente plus une menace stratégique ». L'analyse de Denis Charbit, professeur de sciences politiques à l'Université ouverte d'Israël. À lire aussi Israël: des ex-responsables de la sécurité demandent à Trump d'aider à «arrêter la guerre» à Gaza…
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